Pourquoi avoir lancé de nombreuses invitations pour la proclamation de votre projet de délégation ?
C’est un moment important pour nous et on voulait marquer le coup puisqu’on a travaillé un an et demi avec les équipes locales, les inter-équipes, en bureau, autour des réalités locales pour faire émerger ce projet. Un projet qui a été suscité par le national depuis cinq-six ans, lequel travaille lui-même sur des chantiers prioritaires. Autour de ces chantiers, l’équipe nationale a demandé à chaque délégation de réfléchir à ce qui correspondait aux réalités locales et à ce qui était important pour chaque délégation diocésaine dans son environnement.
Pourquoi avoir fait de cette proclamation un événement ?
Nous voulions qu’il y ait une visibilité du Secours catholique et que les institutions avec lesquelles nous travaillons ou avec lesquelles nous aimerions travailler, entendent aussi ce que nous avions à dire et ce vers quoi nous voulons aller. Maintenant que nous avons lancé notre projet officiellement, le temps du vrai travail a commencé : chacun va devoir s’approprier ce qui a été dit, ce qui a été écrit et y trouver sa place.
Vous nous parliez de cinq priorités, lesquelles sont-elles ?
Les priorités qui ont été retenues sont : la famille, l’emploi, les jeunes, les personnes âgées et la solidarité internationale. Tout est en transversalité, tout se tient. Sauf que l’on a voulu quand même être plus présents sur certaines thématiques. Au Secours catholique, nous sommes surtout présents dans l’accompagnement, pas forcément dans la distribution de choses ou d’argent, mais nous sommes à l’écoute et nous essayons d’aider les personnes à se reprendre en mains.
L’intégralité de l’interview est à écouter ci-dessous